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Dernières nouvelles

Nous avons le plaisir de vous annoncer que Paysages partagés, le n° 23 des Cahiers de l’École de Blois, est disponible en librairie à compter d’aujourd’hui, 26 juin. Sans interactions, pas de milieux humains ; de même, les relations d’interdépendance entre les éléments, les plantes et les organismes assurent leur survie. Il n’est de paysage que pluriel et partagé. Écosystèmes, connexions, symbioses… ce lexique se transpose de l’écologie aux projets des paysagistes à mesure que s’inventent, face à des expériences de dissonance, des gestes de résistance et de solidarité. Paysages partagés : par qui, avec qui, au nom de qui ? Où, depuis quand et pour combien de temps ? Les réponses passent par des expériences de coopération situées, dont l’enjeu est d’apprendre à conjuguer des milieux. Dans cet esprit, ces Cahiers explorent des géographies dispersées – de l’Alsace aux Alpes et de la Saxe aux Antilles, en passant par la Gironde, la Bourgogne, la Loire et le Rhône, Paris, l’est de la Bosnie et les dunes de Calais. Des projets de paysage côtoient des expérimentations pédagogiques, un récit graphique, des propositions photographiques et poétiques.Une présentation publique est prévue à la librairie Volume (Paris), le 16 septembre à 19h30. Les Cahiers seront aussi présents, comme chaque année, aux Rendez-vous de l’histoire, du 9 au 12 octobre. D’autres sont à venir, notamment à Blois et à Tours. Retrouvez le site internet dédié, avec plusieurs extraits en accès libre, et une présentation de la collection : www.cahiers-ecole-de-blois.fr/ See MoreSee Less
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Que nous apprennent les paysages méditerranéens contemporains, leur stratification, leurs écologies complexes ? Avec ces questions en tête, les élèves de 4e année, toute la semaine dernière, ont exploré Montpellier, son arrière-pays et son littoral, dans le cadre de leur voyage d’études interdisciplinaire annuel. Après la découverte de l’arrière-pays, de ripisylves en garrigues sous pression urbaine, les élèves ont observé la production des formes architecturales et urbaines, mais aussi les qualités du sol, l’usage des plantes et la présence de l’eau dans une métropole méditerranéenne, grâce au précieux regard des architectes Yann Legouis et Damien Vieillevigne. Ils ont ensuite découvert un projet d’urbanisation balnéaire sans équivalent, la station de La Grande-Motte, et son paysage entièrement artificiel, au service de la massification du tourisme voulue par l’État gaulliste. Puis, afin d’aborder les paysages lagunaires dans la longue durée, nous avons été accueillis au musée de site archéologique de Lattara, par sa directrice Diane Dusseaux, conservatrice en chef du patrimoine.Au dernier jour du voyage, les élèves ont mené l’enquête, arpentant Montpellier par groupes dans le cadre d’un exercice d’initiation à la recherche. L’après-midi, nous avons été reçus au CAUE de l’Hérault, accueillis par sa directrice Florence Fombonne Rouvier. Un grand merci à tous ces intervenants pour leur irremplaçable accueil ! See MoreSee Less
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Les élèves de 4e année échangent avec les visiteurs du comice agricole de Blois autour de leur travail mené sur les Parler(s) de l’eau, accompagnée de Lolita Voisin. Autour d’images de pensée et de créations radiophoniques, les élèves questionnent les manières de parler de l’eau sur le territoire du Pays des Châteaux. See MoreSee Less
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Quelques photos de la journée d’hier du voyage interdisciplinaire littoral en première année. Depuis Mers-les-Bains jusqu’à la pointe du Hourdel, les élèves ont suivi la dérive littorale et la migration des galets. Au programme lectures de paysages et appréhension de leurs dynamiques : falaises, polders, cordon de galets, marais maritimes, dunes, etc. See MoreSee Less
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Sylvie Barraud, Professeure en hydrologie urbaine à l’INSA de Lyon,Jacques Courilleau, Paysagiste-concepteur, membre de la Commission Supérieure des Sites, Perpectives et Paysages,Cathy Savourey, Maire adjointe de Tours déléguée à l’urbanisme, présidente de l’agence d’urbanisme de l’agglomération tourangelle,et Philippe Simay, Philosophe des sciences sociales, de l’art, de l’architecture et de l’urbain, Maître de conférence à Paris Belleville,ont passé la journée à l’école pour croiser leurs regards sur plusieurs TFE, avant de livrer le fruit de leurs échanges aux élèves et enseignants présents en fin d’après-midi. Cet exercice, reconduit chaque année nous offre une prise de recul sur des travaux que nous avons suivi tout au long de l’année, ainsi que des informations précieuses pour évaluer et ajuster notre pédagogie en continu, préfigurant ainsi ce que pourrait être un conseil de perfectionnement.Les élèves qui ont soutenu leurs TFE vont maintenant partir en stage pour une période de trois mois, jusqu’à leur remise de diplômes qui se déroulera fin septembre. See MoreSee Less
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Un grand merci aux visiteurs venus nombreux hier soir pour le vernissage de l’exposition de Paul de Pignol. L’exposition est visible, aux heures d’ouverture de l’école, jusqu’à la fin du mois de juin. See MoreSee Less
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Depuis lundi, les soutenances des travaux de fin d’étude se succèdent à l’École et s’achèvent cet après-midi.Chaque étudiant présente son projet devant un jury composé d’un président de session, de deux enseignants encadrants, d’un représentant de la maîtrise d’ouvrage, d’une personnalité reconnue pour ses compétences professionnelles et d’un ancien élève diplômé depuis plus de cinq ans. See MoreSee Less
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Installation aujourd’hui de l’exposition des œuvres de Paul de Pignol "J’écoute la respiration silencieuse du vent dans les arbres". Nous vous attendons nombreux jeudi 5 juin à 18h30 pour un vernissage/performance avec des lectures accompagnées à la guitare par Stéphanie Faget suivi d’une soirée animée par les assos étudiantes. See MoreSee Less
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Les Cahiers de l’École de Blois

Couverture Cahier de l'école de Blois 22

N° 22
LIGNES DE FRONT

L’onde de choc des conflits en cours continue de se propager : villes bombardées, destructions en chaîne, déni d’humanité aux frontières. Ces Cahiers partent de situations marquées par la violence. La guerre, la colonisation et leurs traces y figurent, les gestes de résistance ou les lignes de fuite qui s’en écartent aussi. Mais si les institutions couvrent des atteintes répétées aux équilibres sociaux et écologiques comme aux droits humains, si des lignes de front toujours moins métaphoriques polarisent les lieux habités et les métiers chargés de leur donner forme, de l’agriculture à l’architecture, par où passe l’action inventive des paysagistes ? La pensée critique et l’ouverture contournent les discours bellicistes. Elles font valoir une diplomatie tacite et tenace, entre les lignes. De Roissy à Beyrouth, du Cantal au centre de Lyon, quatre travaux de fin d’études suggèrent que, sous certaines conditions, des projets de paysage peuvent contribuer à atténuer ou éviter des conflits – y compris par le désamorçage, le détour ou l’esquive. Ce travail se mène depuis l’intérieur du trouble de l’époque, et non en son dehors.

Ouvrage disponible en librairie le 30 mai.

Télécharger le dossier de presse.

Les Cahiers ont désormais leur propre site.

Fév 26, 2023 | Posté par | Commentaires fermés sur Accueil
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