_DSC2852
DSCF9597
221
33137
_DSC0064
3510
_DSC0253
_DSC0604
_DSC1161
_DSC1441
_DSC2462
_DSC3297
_DSC4947
_DSC5598
_DSC5721
_DSC6539
_DSC7059
_DSC7372
_DSC8151
52
3517
_DSC8383
2321
3531
3537
3544
Ambiance005
atelier1
atelier5
atelier7
CIMG3379
dessin
dessin2
DSC_0110
_DSC4924
_DSC4802
DSC_4826
DSCN0131
DSCN0370
DSC_3304
DSCN0484
DSCN1380
DSCN1610
DSCN5180
IMG_1997
IMG_5398
P1060124
P1080528
previous arrow
next arrow

Dernières nouvelles

Les trois publications annuelles du Centre de recherche Appliquée au Paysage et d’Aide aux Usagers et aux Décideurs (CRAPAUD), de l’aannée 2023-24 sont maintenant disponibles en consultation au sein de la bibliothèque. Ces documents synthétisent le travail effectué en atelier de projet dans le cadre de conventions avec des collectivités locales partenaires.DEP1 semestre 1Centrale nucléaire de Chinon La centrale et le territoire, scénarios prospectifs, horizon 2100DEP2 semestre 1Communauté d’Agglomération de Blois – Agglopolys Nouveaux paysages à l’horizon 2070DEP2 semestre 2Ajaccio – Une montagne dans la merAdresse de la page ENP CRAPAUD pour retrouver les publications des années précédentes www.ecole-nature-paysage.fr/crapaud/ See MoreSee Less
View on Facebook
La prochaine présentation publique de « Lignes de front », le n° 22 des Cahiers de l’École de Blois, se tiendra à la librairie Volume (Paris 3e), ce mercredi 19 juin à 19 h 30, en présence du responsable éditorial et de plusieurs auteurs du numéro, dont Céline Flécheux, Luba Jurgenson et Hugo Martin.L’onde de choc des conflits en cours continue de se propager : villes bombardées, destructions en chaîne, déni d’humanité aux frontières. Ces Cahiers partent de situations marquées par la violence. La guerre, la colonisation et leurs traces y figurent, les gestes de résistance ou les lignes de fuite qui s’en écartent aussi. Mais si les institutions couvrent des atteintes répétées aux équilibres sociaux et écologiques comme aux droits humains, si des lignes de front toujours moins métaphoriques polarisent les lieux habités et les métiers chargés de leur donner forme, de l’agriculture à l’architecture, par où passe l’action inventive des paysagistes ?La pensée critique et l’ouverture contournent les discours bellicistes. Elles font valoir une diplomatie tacite et tenace, entre les lignes. De Roissy à Beyrouth, du Cantal au centre de Lyon, quatre travaux de fin d’études suggèrent que, sous certaines conditions, des projets de paysage peuvent contribuer à atténuer ou éviter des conflits – y compris par le désamorçage, le détour ou l’esquive. Ce travail se mène depuis l’intérieur du trouble de l’époque, et non en son dehors.Le sommaire du numéro et son éditorial sont à découvrir sur le site www.cahiers-ecole-de-blois.fr/ See MoreSee Less
View on Facebook
Dernières nouvelles du voyage d’études interdisciplinaire en Méditerranée : les élèves de 4e année sont partis à la rencontre du littoral de Montpellier, en visitant un projet d’urbanisation balnéaire sans équivalent, la station touristique de La Grande-Motte. On a marché sur la dune : au fil conducteur de l’expérience, à l’abri du soleil sous les grands pins parasol, nous avons observé ces formes architecturales singulières et les partis pris de création d’un paysage entièrement artificiel, au service de la massification du tourisme initiée par l’État gaulliste dans les années 1960. Puis, afin de saisir les paysages lagunaires du littoral dans la longue durée de leur occupation humaine, nous avons eu la chance d’être accueillis au musée Henri Prades et site archéologique de Lattara, à Lattes, par sa directrice Diane Dusseaux, conservatrice en chef du patrimoine, et l’archéo-botaniste Nuria Rovira, que nous remercions vivement pour le temps qu’elles nous ont accordé.Au 5e et dernier jour du voyage, les élèves ont mené l’enquête, arpentant Montpellier par groupes afin de mettre à l’épreuve du terrain leurs questionnements dans le cadre d’un exercice d’initiation à la recherche. L’après-midi, nous avons été accueillis par l’École nationale supérieure d’architecture de Montpellier, grâce aux enseignants Stéphane Bosc et Yann Legouis, afin de poursuivre et conclure, en atelier, l’exercice commencé en début de semaine. Un grand merci à l’ENSAM et à ses personnels pour leur accueil ! See MoreSee Less
View on Facebook
Deux journées de terrain ont permis aux étudiants en deuxième année de mieux cerner les liens entre jardin et paysage. Lundi 10 juin tout d’abord, entre géographie et histoire, direction Meung-sur-Loire. En remontant les Mauves, ce réseau de ruisseau qui prend sa source dans la Beauce, les élèves ont arpenté le territoire pour comprendre son organisation liée à l’eau. Des éléments du patrimoine s’y raccrochent comme des moulins, le jardin de la Folie Hubert ou encore l’arboretum des prés-de-culands. Avec les propriétaires des lieux nous avons pu découvrir comment l’espace végétal s’organisait notamment en fonction de l’eau. Mercredi 12 juin, nous partons cette fois-ci au carrefour de l’Indre et l’Indre-et-Loire. Accueillie par la mairie et le chef-jardinier, la promotion découvre le village-jardin de Chédigny, son jardin de curé, son espace naturel sensible et l’histoire de la transformation du lieu. Il est un des deux villages en France à avoir le label "jardin remarquable". La journée se termine à Montrésor, "plus beau village de France" où les élèves arpentent les balcons de l’Indrois, site notamment réaménagé par Raphaëlle Chéré ancienne enseignante à l’ENP. Entre les enjeux du lieu, le patrimoine, les aménagements et le plan de plantation, les élèves ont pu un peu mieux comprendre l’évolution d’un projet entre sa réalisation et son altération (en écho à un livre de Denis Delbaere). See MoreSee Less
View on Facebook
Que nous apprennent les paysages méditerranéens, leur fragmentation, leur complexité ? C’est guidés par ces questions que les élèves de 4e année, toute la semaine, arpentent Montpellier, son arrière-pays et son littoral, dans le cadre de leur voyage d’études interdisciplinaire. Après un arrêt au viaduc de Millau et une réflexion sur l’approche de la Méditerranée, nous avons traversé le centre de Montpellier : de l’hôtel de Ville à la cathédrale Saint-Pierre, en passant par les rives du Lez, le quartier Antigone et le splendide centre historique. Grâce au précieux regard de deux architectes locaux, Yann Legouis et Damien Vieillevigne, les élèves ont appris à questionner la production des formes architecturales et urbaines, mais aussi les qualités du sol, l’usage des plantes et la présence de l’eau dans une métropole méditerranéenne, interrogeant la place des paysagistes concepteurs dans la fabrique de la ville. Le jour suivant était consacré à l’arrière-pays, du côté du site préhistorique de Cambous et du village de Saint-Martin-de-Londres, afin de saisir les logiques de longue durée, et toujours en mouvement, qui sous-tendent l’évolution complexe des garrigues, sous pression de l’aire d’attraction métropolitaine. See MoreSee Less
View on Facebook
Chaque année de formation, un temps pédagogique s’articule autour d’un voyage interdisciplinaire sur une thématique donnée. Toute la semaine, les élèves de première année participent au "voyage littoral" qui se déroule cette année en Baie de Somme. C’est l’occasion pour eux d’aborder, entre autres, la question du mouvement des paysages, du trait de côte, de l’érosion, et des pratiques humaines. Plusieurs enseignements se croisent in situ, dont la pratique intense du dessin. See MoreSee Less
View on Facebook
Dans le cadre de notre partenariat avec le Château de Chambord, nous avons accueilli, hier soir Julien des Monstiers, en discussion avec Elodie Bernard, commissaire de l’exposition, venus tous deux présenter le travail que le plasticien a réalisé dans le cadre de sa résidence au cours de l’année 2024. See MoreSee Less
View on Facebook

Les Cahiers de l’École de Blois

Couverture Cahier de l'école de Blois 22

N° 22
LIGNES DE FRONT

L’onde de choc des conflits en cours continue de se propager : villes bombardées, destructions en chaîne, déni d’humanité aux frontières. Ces Cahiers partent de situations marquées par la violence. La guerre, la colonisation et leurs traces y figurent, les gestes de résistance ou les lignes de fuite qui s’en écartent aussi. Mais si les institutions couvrent des atteintes répétées aux équilibres sociaux et écologiques comme aux droits humains, si des lignes de front toujours moins métaphoriques polarisent les lieux habités et les métiers chargés de leur donner forme, de l’agriculture à l’architecture, par où passe l’action inventive des paysagistes ? La pensée critique et l’ouverture contournent les discours bellicistes. Elles font valoir une diplomatie tacite et tenace, entre les lignes. De Roissy à Beyrouth, du Cantal au centre de Lyon, quatre travaux de fin d’études suggèrent que, sous certaines conditions, des projets de paysage peuvent contribuer à atténuer ou éviter des conflits – y compris par le désamorçage, le détour ou l’esquive. Ce travail se mène depuis l’intérieur du trouble de l’époque, et non en son dehors.

Ouvrage disponible en librairie le 30 mai.

Télécharger le dossier de presse.

Les Cahiers ont désormais leur propre site.

Fév 26, 2023 | Posté par | Commentaires fermés sur Accueil
Premium Wordpress Themes by UFO Themes