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Dernières nouvelles

Depuis lundi, les soutenances des travaux de fin d’étude se succèdent à l’École et s’achèvent cet après-midi.Chaque étudiant présente son projet devant un jury composé d’un président de session, de deux enseignants encadrants, d’un représentant de la maîtrise d’ouvrage, d’une personnalité reconnue pour ses compétences professionnelles et d’un ancien élève diplômé depuis plus de cinq ans. See MoreSee Less
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Installation aujourd’hui de l’exposition des œuvres de Paul de Pignol "J’écoute la respiration silencieuse du vent dans les arbres". Nous vous attendons nombreux jeudi 5 juin à 18h30 pour un vernissage/performance avec des lectures accompagnées à la guitare par Stéphanie Faget suivi d’une soirée animée par les assos étudiantes. See MoreSee Less
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« La Loire existe-t-elle ? » www.cahiers-ecole-de-blois.fr/la-loire-existe-t…/Dans « Le droit au paysage », n° 19 des Cahiers de l’École de Blois (2021), Bruno Marmiroli et Lolita Voisin abordaient sous ce titre les « tentatives d’identification d’un fleuve par ses luttes entremêlées », en marge des auditions pour un parlement de Loire qui venaient de se tenir. Leur article inscrit cette expérience collective dans la longue trajectoire des conflits politiques et des mises en cause des grands projets d’aménagement, en particulier des barrages hydroélectriques et des centrales nucléaires qui ponctuent le cours du fleuve et de ses affluents. Nous publions aujourd’hui ce texte en ligne sur le site des Cahiers, en écho à la parution récente du livre « Au pied du barrage » de Martin Arnould [www.actes-sud.fr/au-pied-du-barrage], mais aussi au projet de recherche-action ENTRAVE, sur le bassin versant de la Loire [erable.archi.fr/projets/entrave]. Bonne lecture ! See MoreSee Less
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Pendant deux jours, l’école est centre d’examen des épreuves du concours externe d’accès en 1re année de la formation conduisant au Diplôme d’État de Paysagiste (3e année de notre formation en 5 ans).Bonne chance à tous les candidats ! See MoreSee Less
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2 weeks ago

Ecole de la nature et du paysage
Visite express à Paris pour récupérer les œuvres de Paul de Pignol qui seront exposées au mois de juin. See MoreSee Less
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Nous accueillerons jeudi 15 mai à 14h30, une conférence de Jean-Michel BURON, de l’Agence Epicuria Architectes : « une architecture sobre qui valorise son environnement », organisée par le CAUE Loir-et-Cher See MoreSee Less
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Exposition et soutenances publiques des travaux de fin d’études2 au 6 juin 2025à l’École de la nature et du paysage3 rue de la ChocolaterieBlois Lundi 2 juin14 h 30 Chambéry : Un projet socio-climatique qui fédère ses habitants à leur territoire. Valentine Beuzelin14 h 30 Les Hautes-Vosges face au changement climatique : le tourisme d’hyper-localité, support de résilience. Justine Lambrechts16 h 30 Interface Ville-Port du Havre, réouvrir le port à la ville par la redécouverte de son patrimoine. Pierre Fouesil16 h 30 Les Sanguinaires : accompagner les paysages d’entre-horizons face aux risques naturels. Jade KrantzMardi 3 juin9 h 30 Vivre et habiter l’hydrographie à la pointe de la boucle de Seine en aval de Paris. Khalilou Demba9 h 30 Révéler le territoire de la basse vallée du Var face à l’urbanisation croissante de Nice ouest. Kumari Daniel11 h 30 Rivière vive, rivière sacrée : vers une coexistence apaisée à Katmandou. Charles Lefèvre11 h 30 Marquer les pratiques de la plaine torrentielle par les rythmes de l’Arve – De l’exploitation vers le parc de grave. Léa Amadu11 h 30 Equilibre entre milieux humides et préservation par le pastoralisme de la dernière plaine steppique d’Europe. Hugo Jeegers14 h 30 Delta de l’Aa : retrouver un paysage de l’eau face aux bouleversements climatiques et économiques. Harry Viewing14 h 30 Revaloriser le patrimoine industriel du territoire carolorégien autour de la vallée de la Sambre. Fiona Metoudi14 h 30 Thiers : des gorges à la plaine, faire ville le long de la Durolle. Justine Colin-Colnet16 h 30 Entre deux eaux, le recul du trait de côte comme levier de nouvelles cohabitations sur les marais de Rochefort. Simon Rouillier16 h 30 L’aéroport de Pau ferme ! Une transformation qui revalorise la Plaine du Pont Long. Aude MajorelMercredi 4 juin9 h 30 La reconversion du Centre Hospitalier Tarbes-Lourdes dans un contexte périurbain à fort potentiel. Aurélie Bergès-Ragoche11 h 30 Les nouveaux marchés de Carpentras, repenser un territoire pour nourrir ses habitants. Agnès Hingand11 h 30 Paysage, foi et écologie : projet de transition pour les terres agricoles de l’abbaye de Melleray. David Sinet11 h 30 Les délaissés de Romorantin, un récit collectif des quartiers comme vecteur de transition des modes d’habiter. Lucie Aigret14 h 30 La ville et le fleuve réconciliés : une nouvelle interface entre le Rhône et Avignon. Thomas Courtin14 h 30 Vallée de la Fillière : réunir les modes de vie autour de la transition agricole en montagne. Alix Pinel14 h 30 Sur les balcons sud de la Chartreuse, renouer avec un ruisseau ordinaire. Eliane Debray16 h 30 Etretat : adapter les modes de consommation touristique pour les reconnecter au territoire. Alizée Leterc16 h 30 U ritornu versu a Castagniccia (Un retour vers la Castagniccia). Orane Sergent16 h 30 Des coulisses à la ville, définir les seuils de l’habitabilité à Saint-Pierre-des-Corps. Sarah O’ConnellJeudi 5 juin 9 h 30 A Marseille, la fabrique de communs, comme une alternative à la fermeture de la ville et de ses quartiers. Paul Grollier9 h 30 La zone commerciale des Cent Arpents : de l’impression de la non-histoire à l’histoire à vivre. Sarah Trimouillet11 h 30 La poudrerie d’Angoulême – Vers un parc industriel intégré à son environnement, support d’une vie nouvelle. Clément Delmas14 h 30 S’adapter à la montée des eaux et aux épisodes pluvieux dans un territoire de polders- Bruges et son littoral. Marie Tirmarche14 h 30 Cherbourg et la montagne du Roule : l’exploitation de la carrière comme amorce au parc patrimonial. Antoine Lamare16 h 30 Tisser de nouvelles campagnes pour le Pays du Plain face au changement climatique. Laetitia OrangeÀ l’issue des soutenances, les travaux des élèves seront exposés dans la ChocolaterieVendredi 6 juin, nous accueillerons quatre personnalités qui croiseront leurs regards sur plusieurs TFE : Sylvie Barraud, Professeure en hydrologie urbaine à l’INSA de LyonJacques Courilleau, Paysagiste-concepteur, membre de la Commission Supérieure des Sites, Perpectives et PaysagesCathy Savourey, Maire adjointe de Tours déléguée à l’urbanisme, présidente de l’agence d’urbanisme de l’agglomération tourangelle (Atu 37)Philippe Simay, Philosophe des sciences sociales, de l’art, de l’architecture et de l’urbain, Maître de conférence à Paris Belleville. Co-fondateur de xn--mtropolitiques-bkb.eu/ A 16h30, nous leur proposerons de restituer en public,leur vision de la formation dispensée à l’École et de ses enjeux.(Dessin Orane Sergent) See MoreSee Less
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Dans le cadre des Expositions de la Chocolaterie, l’École de la nature et du paysage (INSA Centre Val de Loire) accueillera, du 4 au 27 juin 2025, le travail de Paul de Pignol :J’écoute la respiration silencieuse du vent dans les arbres,l’atelier de Paul de PignolLe travail de Paul de Pignol sera présenté lors d’un vernissage/performance, jeudi 5 juin à 18h30, au cours duquel il sera accompagné musicalement et en lecture de Stéphanie Faget lors d’une présentation coorganisée par l’École et les associations étudiantes La Vitrine Itinérante et Café’Choc, et qui se poursuivra en musique.Extraits de la présentation de l’exposition :Pendant plus de vingt ans j’ai sculpté des figures féminines, échos contemporains des Vénus préhistoriques, ancrées dans une verticalité, comme des arbres. À travers ces colonnes de chair, j’ai exploré la question du corps comme principe fondamental du vivant. […] J’ai fait en sorte que mes sculptures posent la question de la transformation, de l’érosion et de la disparition. […]Aujourd’hui, cette quête s’est déplacée, à travers des tableaux et des sculptures, vers la forêt. Elle aussi est un organisme vivant, une matrice du monde, un territoire en perpétuelle métamorphose où la croissance et la décomposition sont indissociables. […]Chaque tableau est un processus de construction et de destruction. J’efface, je recouvre, j’accumule, je sédimente de la matière ou je l’annule en recouvrant la surface de la toile de blanc, pour tout recommencer.À travers ces gestes, je tente de saisir ce qui persiste, ce qui résiste, ce qui se transforme. Mes toiles sont des surfaces vivantes, des strates d’effacement et de réapparition.Exposition ouverte aux horaires d’ouverture de l’École de 7h30 à 18h00 du lundi au samedi – rue de la Chocolaterie – Blois See MoreSee Less
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Les Cahiers de l’École de Blois

Couverture Cahier de l'école de Blois 22

N° 22
LIGNES DE FRONT

L’onde de choc des conflits en cours continue de se propager : villes bombardées, destructions en chaîne, déni d’humanité aux frontières. Ces Cahiers partent de situations marquées par la violence. La guerre, la colonisation et leurs traces y figurent, les gestes de résistance ou les lignes de fuite qui s’en écartent aussi. Mais si les institutions couvrent des atteintes répétées aux équilibres sociaux et écologiques comme aux droits humains, si des lignes de front toujours moins métaphoriques polarisent les lieux habités et les métiers chargés de leur donner forme, de l’agriculture à l’architecture, par où passe l’action inventive des paysagistes ? La pensée critique et l’ouverture contournent les discours bellicistes. Elles font valoir une diplomatie tacite et tenace, entre les lignes. De Roissy à Beyrouth, du Cantal au centre de Lyon, quatre travaux de fin d’études suggèrent que, sous certaines conditions, des projets de paysage peuvent contribuer à atténuer ou éviter des conflits – y compris par le désamorçage, le détour ou l’esquive. Ce travail se mène depuis l’intérieur du trouble de l’époque, et non en son dehors.

Ouvrage disponible en librairie le 30 mai.

Télécharger le dossier de presse.

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Fév 26, 2023 | Posté par | Commentaires fermés sur Accueil
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